Les esprits de l’air : elfes, sylphes, fées de l’air…, les esprits de l’eau : ondines, vouivres, fées de l’eau…, les esprits du feu : salamandres, phénix, Dragons, fées du feu… et les esprits de la terre : gnomes, korrigans, lutins, faunes, fées de la terre… sont des élémentaux qui évoluent sur une bande fréquentielle très proche de la nôtre.
L’approche exogène, par la mesure du biochamp dans les pratiques en géobiologie, aident beaucoup à ressentir et à communiquer avec les esprits et gardiens de la nature. Les lieux hautement énergétiques sont propices aux rencontres rapprochées avec les Devas.
Je me suis ouvert à cette réalité subtile des esprits de la forêt par l’entremise de mes compagnons les « Lutins ». Ils m’ont guidé pas à pas dans des lieux pour rejoindre des phénomènes qui semblaient anodins au premier regard. Ces lieux renfermaient tous une énergie inattendue qui était présentée par une configuration particulière de par la végétation.
C’est l’approche endogène (Qui prend naissance à l’intérieur d’un corps) qui caractérise ma relation avec les esprits de la nature. La reliance se fait avant tout de l’intérieur par leurs voix qui résonnent en moi en passant par le portail du Cœur.
Les deux approches, exogène et endogène, ne s’opposent nullement mais se complètent. C’est après avoir répondu à leurs appels intérieurs et en me rendant dans des lieux qui m’appelaient et à travers mon cœur et en utilisant mes mains afin de ressentir leurs Auras. J’ai peu à peu réactiver mes sens pour les localiser, pour « voir » leurs jeux afin de pouvoir établir ensuite des conventions. Mais pour en arriver là, j’ai passé beaucoup de temps à faire des soins aux arbres dans les forets.